Chez Drouot se tient une vente événement consacrée à une partie de la collection de Sylvie Grumbach, attachée de presse légendaire de la mode et de la culture. Pour Marie Claire, celle qui a œuvré au succès du Palace, des Bains Douches et représenté Vivienne Westwood et John Galliano à leurs débuts se livre sans détour.
Mais pire, me semble-t-il que de ne pas les rencontrer, est souvent de rester sur le banc de touche.
, côtoyés des designers dont le nom continue d’avoir une résonance forte dans l’industrie de la mode et de la culture internationale.non pas dans ce qu’elle a de passéiste ou"vieux jeux" mais dans ce qu’elle a de plus vivant. Il ne s’agit pas ici de seulement célébrer ce qui a été, au travers d’une sélection de pièces collector, mais de ce qui fait l’essence même de ce milieu et surtout, de le transmettre.
Mon frère a travaillé en ce sens, développé le marché. Il a inventé Saint Laurent Rive Gauche, etc. J'ai vécu, entouré de noms, de collections, de marques, de couturiers qui étaient en train de se développer grâce à leur prêt-à-porter. Le deuxième bureau, c'est pour être le deuxième bureau de mes clients et je voulais surtout représenter des marques étrangères pour lesquelles, grâce à mon passé, je pouvais leur apporter des choses en plus.ou avec des Japonais... Des gens qui étaient déjà Paris ou des gens qui étaient à l'étranger et qui venaient à Paris parce qu'ils avaient un style qui était exportable.
C'était aussi une manière d'être reconnu ou d'être connu, d'avoir des gens qui portent des vêtements. Si on vous remarque et qu'on vous demande :"C'est quoi ce que tu portes ?", cela fait une publicité pour le créateur. Les gens que vous citez appartenaient à ma génération. Je pense que si vous allez parler à Hugo [Howlett] ou Marie-Laure [Girardon], ils vont vous citer d'autres gens qui sont de leur génération. C'était des histoires aussi de rencontres, de parler de projets.
J'ai eu la chance d'être entourée par ces créateurs, qu'on peut aimer ou qu'on peut détester, mais moi, j'ai eu la chance de les aimer. En tous cas, ils m'ont fait aimer leurs vêtement. - Sylvie Grumbach Et puis les médias... Ce n'est pas que c'était mieux, bien que les médias étaient assez prescripteurs, mais sur les photos de ces journaux, on voyait quand même le travail des vêtements.
Ce sont toujours des économies de marché. On a commencé à faire des tailles, puis après, il y a eu le small, medium, large. Comment j'ai trouvé le mien ? Je ne sais pas. À un moment, on sait un peu ce qui nous va et ce qui ne nous va pas. C'est vrai que j'ai eu la chance d'être entourée par ces créateurs, qu'on peut aimer ou qu'on peut détester, mais moi, j'ai eu la chance de les aimer. En tous cas, ils m'ont fait aimer leurs vêtement.
Les autres, ce n’était pas ça parce que ça n'avait pas la même construction de vêtements. Un couturier, quand il fait un défilé, il regarde quand même à quel mannequin une pièce irait le mieux. Ce n'est pas chercher à convaincre les autres mais faire comprendre les qualités d'une personne que j'aime. Faire découvrir.
On a fait beaucoup de choses. Il y avait beaucoup de papiers, de photos, de catalogues, etc. Et on a décidé que notre maison familiale à la campagne, qui est devenue un fonds de dotation pour les industries créatives, devrait être une bibliothèque de livres de mode. Oui.
Est-ce que vous avez éprouvé peut-être des sensations particulières en redécouvrant les 15 premières années du bureau ? Les jeunes acteurs et actrices pouvaient venir emprunter une robe, monter les marches et revenir le lendemain pour choisir une autre tenue, etc. Ça a marché pendant trois ou quatre ans.
Peut-être que vous pourriez parler des pièces et des anecdotes qui y sont liées. Comme l'ensemble Vichy avec le short et la veste Vivienne Westwood. John, je l'ai connu à Londres, à son défilé d'école. C'est vrai qu'à la sortie, je suis allé lui dire que s'il venait en France, j'aimerais bien m'occuper de lui.
Fayçal Amor l'a beaucoup aidé, lui avait payé un appartement, ouvert ses ateliers rue Servan, l'a aidé à continuer sa collection. C'est comme ça que John est devenu John, a continué à être John. Si vous regardez les défilés de l'époque, John ou Vivienne racontaient à leurs mannequins le personnage qu'ils jouaient, ce qui donnait une vie aux défilés et aux vêtements.
United States Latest News, United States Headlines
Similar News:You can also read news stories similar to this one that we have collected from other news sources.
Cette montre Casio à -31% chez Amazon est le bon plan phare du moment chez AmazonApportez une touche de style à toutes vos tenues grâce à cette montre Casio. C’est une valeur sûre que vous pourrez porter pendant de longues années. Amazon vous la propose à petit prix.
Read more »
Cette chambre pour bébé est presque à moitié prix chez CdiscountVous souhaitez équiper la chambre de votre futur bébé à moindre coût, avec un lit, une table à langer et une armoire? L’ensemble de meubles
Read more »
Cette friteuse à air connectée voit son prix dégringoler de 34% chez AliExpressDégustez de délicieuses fritures à domicile, sans ajout de matière grasse. Idéale pour une cuisine saine et savoureuse, la friteuse à air Xi
Read more »
Cette promotion de 56% sur cette tablette graphique XPPen tombe à pic pour la rentréeAvec la rentrée, certains artistes ont sans doute besoin d’une nouvelle tablette : qu’ils se rassurent, AliExpress leur propose la tablette
Read more »
Profitez de cette énorme remise de 120 euros sur cette mallette à outilsObtenez plus d’une centaine d’outils à main pour moins de 80 euros, grâce à cette offre exceptionnelle proposée par ManoMano. En top ventes
Read more »
Saint-Brieuc : les bienfaits de la marche nordique vus par Sylvie et AnnickAu forum des associations de Ploufragan (Côtes-d'Armor), le 9 septembre, les membres des Arpenteurs du Goëlo seront présents pour parler de la marche nordique.
Read more »